Peyton Lipsett : une ingénieure polyvalente

Étudiante de troisième année en ingénierie chimique, Université Dalhousie Ancienne élève de la cohorte 2016-2017 de Techsploration – New Germany Rural High School

Qu’est-ce qui vous a motivée à devenir ingénieure chimiste?

Je voulais devenir ingénieure chimiste parce que j’aimais les mathématiques, la physique et la chimie à l’école secondaire, et le programme Techsploration semblait englober ces trois matières. Depuis que je participe au programme, je suis ravie d’avoir fait ce choix, car l’ingénierie chimique couvre ces trois matières ainsi que de nombreux autres sujets intéressants.

Qu’aimez-vous le plus dans l’ingénierie?

Ce que j’aime le plus dans l’ingénierie, c’est la polyvalence de ce domaine. On n’est pas limité à un seul secteur d’activité, et il y a tant de façons d’exercer le métier d’ingénieur.

Quand et comment avez-vous découvert Techsploration?

J’ai découvert Techsploration en 9e année lorsque j’ai eu l’occasion de faire partie de l’équipe Techsploration de mon école.

Techsploration vous a-t-il aidé à atteindre votre ou vos objectifs?

Techsploration m’a aidée à atteindre mon objectif d’être admise dans un programme de STIM à l’université. En observant une femme dans un domaine à prédominance masculine et en découvrant tous les différents emplois offerts aux femmes, j’ai pu constater qu’il y avait un grand nombre de diplômes que je pouvais obtenir dans le cadre de mes études postsecondaires. C’est ce qui m’a motivée à entreprendre moi-même des études pour décrocher un de ces diplômes.

Quel conseil vous donneriez-vous alors que vous aviez 15 ans et que vous pourriez également transmettre à vos élèves?

Le conseil que je me donnerais si j’avais 15 ans serait de ne pas avoir peur de ne pas connaître la réponse. La principale leçon que j’ai tirée de mes études est qu’il m’arrive parfois de ne pas savoir comment résoudre un problème, et c’est tout à fait normal. Il vaut toujours mieux de demander de l’aide dans ces circonstances et d’apprendre de ses erreurs. Ainsi, si un problème similaire se présente à l’avenir, vous aurez les connaissances nécessaires pour le résoudre.

Avez-vous des mentors? Si oui, comment vous ont-ils aidé à réussir sur le plan professionnel?

L’une de mes mentors est la personne qui me supervise lors de mon emploi dans le cadre du programme d’éducation coopérative. Elle m’a aidée à réussir sur le plan professionnel en m’offrant d’uniques possibilités comme étudiante coopérative, qui m’ont permis d’expérimenter par moi-même ce que font les ingénieurs dans cette entreprise et de m’immerger réellement dans le métier. Au cours de mon stage coopératif, l’alternance entre le travail dirigé et le travail indépendant s’est avérée bien équilibrée et j’ai beaucoup appris.

Quel type de croissance souhaiteriez-vous pour les femmes travaillant en STIM?

Je souhaite que les femmes et les personnes non binaires soient davantage initiées aux STIM à un plus jeune âge. Je pense que découvrir ce genre de travail tôt dans la vie est une bonne chose, et je veux que ces personnes, en grandissant, connaissent les différentes possibilités qui s’offrent à elles. Cela ne fera qu’encourager un plus grand nombre de femmes et de personnes non binaires à participer aux programmes.